Objectif
Se fixer un objectif, propre à soi-même, afin de savoir où l’on va et comment le préparer ; c’est se donner les moyens de réussir à l’atteindre.
Concilier vie familiale, vie professionnelle et son sport
Il est nécessaire d’être en adéquation avec ces trois domaines car si nous ne sommes pas bien dans l’un forcément cela aura des répercussions sur l’autre. Tout est lié !
Entraînements
Il est important de faire un minimum d’entraînements pour réussir à prendre du plaisir et surtout terminer sa course avec l’envie de repartir ! Et éviter la blessure !
De plus, la dernière séance spécifique doit avoir lieu J-5 avant la course pour arriver frais mentalement et physiquement.
Savoir s’écouter
Avec l’expérience nous apprenons à connaître notre corps ainsi si vous avez une douleur particulière, il vaut mieux faire une séance de moins qu’une séance de trop et être privé de courir totalement.
Hydratation
Penser à boire au quotidien suffisamment d’eau en petite quantité et régulièrement. Ne pas attendre d’avoir soif car il est trop tard. Et après la course, il est important de boire (une eau riche en minéraux) et de s’alimenter dans la fenêtre métabolique (env. 30’ après l’effort) afin de permettre à l’organisme une meilleure récupération.
Dernier repas
Eviter un repas trop copieux et proche de la course. Il est important pendant l’effort de ne pas être en phase digestion afin de permettre aux muscles d’être totalement disponibles pour l’effort.
L’équipement le jour J
Adapter sa tenue à la météo de votre 10 km. Mais, il vaut mieux avoir un peu frais au départ pour être bien pendant la course (car le corps se réchauffe). Avoir trop chaud pendant le 10 km peut faire rater sa course. De plus, éviter les vêtements neufs le jour J afin de ne pas avoir des irritations ou ampoules…
Le 10 km
Rester concentré sur soi-même est important afin de garder à l’esprit sa stratégie de course et de vivre pleinement sa course. La stratégie d’un 10 km ? Ne pas se brûler les ailes au premier kilomètre pour ensuite trouver son rythme de course (en étant relâché pour s’économiser) et être en contrôle jusqu’à la moitié. Sur la deuxième phase, on cherchera à rester dans l’allure pour ne pas ralentir, et dans le dernier tiers (là où cela commence à ‘’piquer’’) être fort mentalement et essayer, si c’est possible, de relancer pour finir de belle manière.